LE PRISONNIER
Au traverse du
grillage je vois de ma prison reverdir les feuillage, fleurir l'épais gazon. Je vois de ma fenêtre l'hirondelle courir. Le printemps va renaître, et moi je vais mourir! |
Ruisseaux
au doux murmure je vous faise mes adjeux. L'éclat de la nature disparait à mes yeux. Déjà la main du prêtre est là pour me bénir. Le printemps va renaître, et moi je vais mourir! Et moi je vais mourir! |